Ils sont venus, ont vu...
Christian Ortuno seul face au public pendant plus de deux heures.
Dernièrement, au Foyer Socio-Culturel de Brouzet les Ales, "Vivre à Brouzet" a proposé à un nombreux public une soirée Cabaret. Dans le local bien agencé et magnifiquement décoré, la vedette de la soirée, Christian Ortuno, a présenté pendant plus de deux heures son récital consacré à Brassens, Brel et Ferré.
Avec passion, force et justesse, il a interprété plus de trente oeuvres (36) de ces monstres de la chanson française, invitant les spectateurs à participer, pour les plus connues.
Une belle soirée festive ; félicitation aux organisateurs et bravo au chanteur pour sa performance.
Midi Libre le 02 Mai 2007.
"Les Poètes en Chanteurs" sont une invitation au voyage poétique et musical : le bonheur !. Laissez vous porter par la magie de ce spectacle et suivez le guide. Christian Ortuno, vous ne l’oublierez pas !
Midi Libre
Quel bonheur d’écouter ces chansons si attachantes, si vivantes, si prenantes ! Ce récital Jacques Brel a été un enchantement. Christian Ortuno est entré dans la peau de son maître pour nous restituer cette "belgitude", cette révolte, ces angoisses, ces moments de vie qui caractérisent le "grand Jacques".
Merci encore.
N’hésitez pas à écouter la trentaine de chansons que nous offre Christian Ortuno.
La Marseillaise Montpellier Mai 2007.ce récital Brel est un enchantement.
M. Ortuno se lance, à grands coups de cisailles, dans les tissus mordorés du show-biz et de l’actualité. Son éloquence facétieuse voire pertinente est coulée dans un béton fait d’une observation tatillonne et perspicace de tous ces genres qui font la une des quotidiens. Christian Ortuno voit tout, remarque la moindre faille pour vous livrer des caricatures drôles, tendres et réalistes. Il vous piquera au jeu savoureux de ses mimiques et de sa verve. Ne ratez pas les folles élucubrations de ce zozo dénommé Ortuno.
Le Midi Libre - Nîmes
C’est à ce moment précis que l’inénarrable Christian Ortuno entre en scène... Rien ni personne n’échappe à son généreux courroux, et sur les airs savamment détournés par Claude Serra, il fustige, encence ou parodie avec tendresse Brassens, Métayer, Popeck, Lavilliers, les Deschiens, Sheller, Devos, Gainsbourg, Bruel, Coluche, Boujenah, Jean-Paul II, ou Jacques Tati (la liste est encore longue). Notre "irritateur" se défend d’être un imitateur conventionnel, et préfère de loin le Café-Théâtre au cabaret.
La Marseillaise
N'oubliez pas...
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